• Petits déboires en prose

    Salut mes petits pamplemousses, on se retrouve ce mercredi (Et oui ; le changement, c'est maintenant !) pour un article un peu improvisé. On s'invente du talent mdrr.

    Vous l'aurez compris, je suis un peu dépassé par mon quotidien donc j'essaye de vous refiler ce que je peux comme article. Et de plus, j'aime bien écrire et Balzac a été une grande source d'inspiration pour moi ces derniers temps, donc je me suis dit pourquoi pas vous partagez mon petit travail.

    Je compte faire un peu plus d'articles comme ça donc si ça vous plaît, et bien tant mieux !


    Et sur-ce, je vous laisse regarder le reste de l'article.


     

    Brouillon, la façon dont je perçoit mon âme.

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    Il n'y a qu'à travers elle que je perçoit mon être de façon animé. Elle est ma drogue, mon illusion d'optique du monde.

     

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    La passion ne se contrôle pas, mais en revanche elle peux nous consumé.

     

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    D'une certaine façon, je suis drogué à ta présence.

     

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    Ecrire pour ne pas oublier, dessiner par peur de ne plus s'en rappeler.

     

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    A défaut de pouvoir m'exprimer à l'oral comme je le reverrai, je peux toujours valser avec la prose.

     

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    Même si je reste planté devant toi sans pouvoir laisser s'échapper un mot, l'envie de frôler ton espace vitale fuse en moi et m'emplie d'une frustration insoutenable.

     

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    Pour toi je serais même prête à renoncer à mes ailes, si seulement dans ton cœur je pouvais rester éternellement. Mais les dés sont jeté et depuis le début tu étais promise à un autre.

     

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    Si tu pouvais voir ne serai-ce qu'une infime partie de ce qui se passe en mon esprit, tu serais certainement effrayé. Non pas par la violence de mon monde, mais l'amour destructeur que je te porte.

     

     ______

     

    Ma muse, mon amant idéal, mon phare dans l'obscurité. Tu es tout ça à mes yeux et bien plus encore. Je réalise que je n’écris qu'en vain puisque jamais aucun mot ne sera assez pour toi, et aucune ligne ne suffira à refléter tout ton étincellement. Mais coucher des mots sur le papier m'apaise et me révèle chaque fois de plus une de tes millionièmes autres facettes.

     

    Merci d'avoir lu tout ça et je te dit à la semaine prochaine mon ami !

     

     


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